«Cette signature constitue l’aboutissement
d’une démarche empreinte de collaboration, réalisée à la
satisfaction de toutes les parties impliquées, a commenté André
G. Roy, vice-recteur aux ressources humaines, secrétaire général et
directeur des affaires juridiques de l’UQTR. En ce qui concerne
plus particulièrement l’Université, elle bénéficiera notamment
d’une flexibilité accrue dans la gestion des contrats des salariés
surnuméraires, temporaires ou à temps partiel. Le regroupement des
fonctions du personnel de bureau, rétroactif au 1er juin 2004,
assurera également une plus grande flexibilité administrative.»

La présidente du SCFP 1800, Denise Béland, s’est dite également
satisfaite du résultat des négociations. «Certaines
modifications auront un effet positif sur nos membres, entre autres
pour les emplois à statut précaire. La restructuration du groupe
bureau est, à elle seule, excellente dans le contexte actuel. À cet
effet, les membres des autres groupes que représente notre
Syndicat, soit métiers et services ainsi que technique, ont
démontré une parfaite solidarité pour leurs collègues du groupe
bureau. L’entente de principe a été acceptée à la majorité.»
Signalant que les employés de soutien sont des employés de première
ligne, la présidente du syndicat a tenu à rappeler leur grande
importance pour toute organisation.

La nouvelle convention collective du personnel de soutien prévoit,
entre autres, une augmentation de 2,6% des échelles de traitement,
et ce, à compter du 1er juin 2004, de même qu’une indexation
conforme à la politique salariale des secteurs public et
parapublic.