Nouveau contrat de travail à l’INSPQ
5 juillet 2012
Ce jeudi, à Sainte-Anne-de-Bellevue, cétait
jour de signature pour les 120 employés du Laboratoire de santé
publique du Québec (LSPQ) de lInstitut national de santé publique
du Québec (INSPQ). En vertu de la nouvelle convention collective,
les membres du SCFP, section locale 2667, toucheront les mêmes
augmentations salariales que celles convenues dans le secteur
public. Le nouveau contrat de travail, qui couvrira la période du
1e janvier 2010 au 31 mars 2015, consigne aussi de nombreuses
améliorations.
Parmi celles-ci, signalons la classification de techniciens en
informatique spécialisés pour les programmeurs en informatique et
les administrateurs réseau, la permanence de certains postes,
linclusion dun régime dhoraire variable, et la possibilité
d’avantages reconnus aux détenteurs de postes permanents.
Précisons que les employés du LSPQ travaillent
principalement comme techniciens de laboratoire, coordonnateurs
techniques de laboratoire, assistants techniques au laboratoire,
employés de soutien (de bureau et ouvriers) et techniciens en
informatique. Le SCFP représente aussi un second groupe demployés
de lINSPQ, regroupés au sein de la section locale 4671. Ces
employés travaillant au siège social de lINSPQ, à Québec, ont
ratifié leur nouvelle convention collective le 28 février dernier.
Fondé en 1894 et intégré à lINSPQ en avril 2000, le LSPQ a pour
rôle premier de protéger la population du Québec contre les
infections en offrant aux laboratoires hospitaliers, aux directions
de santé publique et au ministère de la Santé et des Services
Sociaux son expertise. Le LSPQ propose des services diagnostiques
en microbiologie et en physico-chimie de l’eau, d’hémodialyse et de
laboratoire, ainsi que des programmes de surveillance des maladies
infectieuses en laboratoire.
Comptant plus de 111,000 membres au Québec, le SCFP représente
20,000 membres dans le secteur de la santé et des services sociaux
au Québec. Le SCFP est de plus présent dans les secteurs suivants :
les communications, léducation, lénergie, les sociétés dÉtat et
organismes publics, les transports aérien et urbain, le secteur
mixte ainsi que les universités.