Le courte présentation rappelle de manière
efficace que les problèmes financiers de l’UQAM ne sont pas
terminés et que ce sont les employés de l’institution qui paient la
note. Au total, 110 postes ont déjà été abolis ou sont sur le point
de l’être. Une situation inacceptable pour le syndicat dont nos
membres ont déjà une charge de travail excessive. De plus, cela
signifie que l’UQAM jette à la rue une centaine de jeunes hommes et
de jeunes femmes à statut précaire, qui font les frais des
restrictions imposées par la ministre, alors qu’ils ne sont pas
COUPABLES!

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du SEUQAM.

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SEUQAM au http://www.unites.uqam.ca/seuqam.