C’est une excellente nouvelle qu’annonce le regroupement syndical baptisé le SUPER, soit les Syndicats unis pour les employé(e)s du réseau SCFP-UQ, qui rassemble les comités de négociation des huit sections locales du SCFP regroupant les employé(e)s de soutien du réseau de l’Université du Québec (UQ).

« Cette initiative vise à augmenter l’efficacité des négociations de nos conventions collectives et à considérablement améliorer nos conditions de travail. Il n’y a personne qui a le monopole des bonnes idées et des bonnes solutions et nous voulons travailler davantage en essaim. Ce regroupement dit novateur ne peut qu’être bénéfique pour les milliers de salarié(e)s que nous représentons », d’expliquer Julie Brault, conseillère syndicale du SCFP.

Avec l’appui du Conseil provincial du secteur universitaire (CPSU), les comités de négociation concernés échangeront et collaboreront, créant ainsi une synergie qui renforcera notre position lors des pourparlers en vue d’obtenir des améliorations tangibles et les avantages auxquels nous avons droit.

« C’est le début d’une nouvelle ère de coopération dans le secteur universitaire et les membres en sont ravis », de conclure la conseillère syndicale.

Les syndicats concernés sont : le SCFP-1294 de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), le SCFP-1574 de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), le SCFP-1575 de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), le SCFP-1800 de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), le SCFP-1733 de  l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), le SCFP-2051 de l’Université TELUQ, le SCFP-3187 de l’École de technologie supérieure (ÉTS) ainsi que le SFCP-4574 de l’École nationale d’administration publique (ENAP).