Les chauffeurs d’autobus et opérateurs de métro acceptent l’entente de principe
16 septembre 2003
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contrat de travail aux membres du SCFP 1983 réunis en assemblée
générale. Photo Service de l’information SCFP
Les chauffeurs d’autobus et opérateurs de métro, affiliés au
Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), ont accepté, dans
une proportion de 80%, l’entente de principe survenue vendredi
dernier avec la Société de Transport de Montréal (STM).
Les membres du SCFP 1983 ont donc accepté un contrat de travail de
quatre ans respectant le cadre financier de 11,7% de la ville de
Montréal. Comme prévu, ces syndiqués recevront le même traitement
que les employés municipaux. Le fonds de retraite est maintenu et
les employés enregistrent plusieurs gains dans ce qu’on appelle les
clauses normatives (sans incidence monétaire).
Le président du syndicat, Claude Benoît, s’est déclaré très
satisfait des résultats. «Nous avons obtenu les mêmes taux
d’augmentation que les autres employés de Montréal. De plus, on a
fait des progrès dignes de mention sur plusieurs clauses de la
convention. Nous sommes particulièrement fiers d’y être parvenus
sans avoir eu recours à la grève. C’est bien la preuve qu’on peut
s’entendre quand tout le monde travaille dans le même sens».
Le SCFP représente quelque 6,500 membres dans le transport urbain
au Québec. En plus de ce secteur d’activité, le SCFP est présent
dans 10 autres secteurs, entre autres, la santé et les services
sociaux, l’éducation, les municipalités, le transport aérien et les
communications. Comptant au total près de 100,000 membres au
Québec, il est le plus important syndicat affilié de la FTQ.