Le secteur des communications du SCFP se réunit sur le thème des médias sociaux
12 avril 2013
Le Conseil provincial du secteur des
communications du SCFP (CPSC) entame son 16e congrès aujourdhui à
Saint-Georges, en Beauce. Sous le thème «Médias sociaux: amis ou ennemis», la
réunion de trois jours comportera plusieurs échanges et éléments de
formation sur les avantages et les périls de Facebook, Twitter et
compagnie.
Samedi matin, Me Danielle Lamy, conseillère au Service juridique du
SCFP, fera une présentation sur limpact des médias sociaux dans
les relations de travail du point de vue syndical.
Ensuite, en après-midi, Guillaume Brunet, vice-président stratégies
numériques et associé chez Substance stratégie, parlera aux
congressistes des «Bonnes
pratiques sur les médias sociaux pour éviter les crises et les
débordements».
Toujours samedi, les différents secteurs constitutifs du CPSC
soumettront leurs rapports. Il sagit de résumés des faits
saillants de la vie syndicale au cours des deux dernières années.
Ces secteurs sont: cinématographie-postproduction, presse écrite,
radio-télévision, télédistribution, téléphonie.
Les congressistes vont également rendre hommage à Richard Labelle,
dont le mandat de président du CPSC prendra fin au terme du
week-end.
Photos archives SCFP Daniel Jalbert
«Richard a été « sur toutes les
tribunes » avec son excellent travail de représentation, entre
autres au CRTC. Au cours des deux dernières années, il a bien
défendu autant les membres du CPSC que lintérêt public, toujours
avec classe et pertinence», selon Lucie Levasseur,
présidente du SCFP-Québec.
Le SCFP est une force de premier plan dans les communications au
Québec, avec environ 8000 membres. Il regroupe des syndiqués du
Groupe TVA, de la Société Radio-Canada, de RNC Media, Shaw Media
(Global), Telus Québec, Vidéotron, Cogeco, Technicolor, de la
SETTE, du Journal de Québec, etc.
Il intervient dans de nombreux forums publics axés sur les
communications, notamment auprès du Conseil de la radiodiffusion et
des télécommunications canadiennes (CRTC). Ces interventions
accordent une place majeure à l’intérêt public.